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Marché aux puces de l'ESHB
13/05/2010 11:47
Nos représentants étaient ce jour au marché aux puces organisés par l’ESHB. Malgré le froid et la pluie matinale, des exposants courageux ont répondus présent. Bien leur en pris puisque le public sera lui aussi bien présent malgré l’incertitude météorologique.
Le comité local DLR
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L’empire (européen) contre-attaque
13/05/2010 11:30
« L’euro est le moyen pour contraindre les Etats-nations à construire l’Europe sur un modèle fédéral » : voilà ce que certains esprits éclairés avaient compris en 1992 lors du référendum sur le traité de Maastricht. Les propositions d’hier de la commission de Bruxelles l’illustrent malheureusement à nouveau.
Europe : la croissance en panne… avant la rigueur
Pourtant, plus que l’organisation des pouvoirs, c’est plutôt de la croissance que José Manuel Barroso devrait se soucier. Les résultats du premier trimestre 2010 viennent de tomber et ils sont très mauvais. Autant les Etats-Unis sortent vigoureusement de la crise, avec 3% de croissance, autant l’Europe aura du mal à faire plus de 1%... En effet, l’Union Européenne a enregistré une croissance de son PIB de 0.2%, soit le rythme dérisoire de moins de 1% en rythme annuel.
La croissance fantôme
Dans les années 2000, le PIB de la zone euro a cru de seulement 1.4% par an contre 1.9% aux Etats-Unis. Et pour preuve que son modèle est un leurre, le PIB Allemand n’a progressé que de 0.8% en moyenne… Bref, la zone euro est de plus en plus une zone économique où la croissance n’est plus qu’un lointain fantôme. Et ce n’est pas tout : le pire semble devant nous étant donnés les plans de rigueur qui s’accumule.
En effet, outre une Allemagne qui a théorisé l’absence de gain de pouvoir d’achat comme modèle (ce qui empêche toute croissance de la consommation intérieure), les pays européens annoncent les uns après les autres des plans de rigueur extrêmement sévères. Après l’Irlande, la Grèce et le Portugal, c’est au tour de l’Espagne d’annoncer une baisse du traitement de ses fonctionnaires de 5%. La France a annoncé un gel de ses dépenses publiques accompagné d’une baisse des aides.
Il y a bien quelques farfelus qui annoncent que cette « bonne gestion » des deniers publiques va accélérer la croissance. Mais cela est complètement faux dans notre situation car la réduction des dépenses publiques sert uniquement à réduire les déficits et représente donc une baisse de la consommation de l’Etat, sans le moindre espoir que la consommation privée prenne le relais avec des impôts en hausse.
Bref, on ne voit pas comment la croissance pourrait reprendre en Europe avec le cocktail de ces Hoover du 21ème siècle. Et cela pose un immense problème de solvabilité des Etats puisque le PIB va stagner alors que les dettes progressent, ce qui va rendre leur situation budgétaire encore plus délicate dans quelques années. Il est difficile de ne pas voir dans les politiques mises en place une réplique de la politique japonaise, alors qu’il existe pourtant des solutions alternatives…
La tentative de putsch de la Commission
C’est dans ce contexte, où toutes les énergies devraient être concentrées pour trouver des moyens de relancer la croissance européenne que la Commission a proposé une nouvelle gouvernance pour l’approbation des budgets nationaux. José Manuel Barroso veut imposer un examen des budgets nationaux par la Commission Européenne avant même leur débat dans les parlements nationaux, avec des possibilités de sanctions allant jusqu’à la suspension des aides européennes.
Alors que la Commission met la pression sur l’Italie et la France, cette proposition représente une véritable perversion démocratique. En effet, la Commission n’est qu’une administration composée de hauts fonctionnaires et non de politiques responsables devant un peuple. Il est donc extrêmement choquant de vouloir donner la primeur de l’examen des budgets nationaux à cet aréopage de technocrates apatrides et coupés des réalités par rapport à des parlements démocratiquement élus.
La proposition de la Commission est extrêmement choquante car voici une administration qui réclame encore et toujours plus de pouvoir, sans la moindre légitimité et sans devoir rendre de compte à quiconque. Encore une fois, cette Europe ne cherche pas à répondre à la crise mais uniquement à gagner du pouvoir.
Laurent Pinsolle
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L’amour de la France, dans l’honneur !
13/05/2010 08:08
Un jour, une personne nous interpela pour nous demander pourquoi ne faisions nous pas alliance avec le FN, puisque, selon elle, nous les rejoignions sur beaucoup de sujets. Après quelques minutes d’effarement nous nous disposâmes à expliquer ce en quoi nous étions fondamentalement différents d’un parti qui ne fait que glaner de-ci, de-là, suivant l’air du temps, des idées qui ne sont pas les siennes. Pour faire court nous résumerons ici ce que nous lui avons tantôt répondue :
- Nous sommes souverainistes
- Nous ne sommes pas anti –européens, mais nous rejetons le modèle ultra - libéral actuel
- Nous sommes pour un retour aux monnaies nationales, suppléées par « la monnaie commune »
- Nous rejetons l’ « atlantisme »
- Nous sommes pour le modèle économique mixte
- Nous ne sommes ni racistes, ni antisémites
- Nous revendiquons la laïcité, la liberté, l’égalité et la fraternité comme dogme absolu
Bref, nous sommes avant tout et surtout des républicains. Pour mieux appuyer notre démonstration, nous vous proposons 2 liens qui pourraient résumer simplement la différence entre nous et le FN.
En 1940, le FN aurait été ceci :
Nous, nous sommes cela :
Comme vous le voyez, nos conceptions sont bien différentes. Nous sommes mus par l’intérêt de la nation française, et nous conformons qu'à l'exemple d’un homme qui toute sa vie durant aura toujours eu « une certaine idée de la France », la nôtre.
Le comité de la 14ème circonscription
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Pas de rigueur sans croissance
12/05/2010 20:39
COMMUNIQUE DE PRESSE
La Commission de Bruxelles veut remplacer les peuples !
L’estimation publiée par l’INSEE qui revoit en nette baisse la croissance française avec seulement 0,1 % au 1er trimestre 2010, prouve une fois de plus combien les hypothèses du gouvernement sont surestimées pour l’année 2010.
Se contenter aujourd’hui d’une politique de rigueur, voire d’austérité, ne ferait que précipiter notre pays dans le cercle vicieux de la récession et des déficits cumulatifs.
A cet égard, la proposition de la Commission européenne de s’arroger le droit de vérifier en amont les budgets des Parlements est inacceptable car cela porterait atteinte à notre démocratie. De surcroît, cela ne pourrait conduire qu’à une crise encore plus grande en Europe.
Aucune politique budgétaire sérieuse ne pourra être efficace, qu’elle soit restrictive ou expansionniste, tant que la monnaie unique interdira d’utiliser le levier monétaire.
C’est pourquoi la sortie de l’euro est le préalable à tout de retour de la croissance, lui-même indispensable à une résorption des déficits publics qui est impossible à atteindre uniquement par des mesures de rigueur.
En 1958, le général de Gaulle et Jacques Rueff ont réussi à rétablir l’équilibre des comptes publics par une dévaluation du franc de 17% assorties d’une politique raisonnable mais résolue de maîtrise des dépenses publiques.
Nicolas DUPONT-AIGNAN -
Député de l’Essonne - Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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La Grande-Bretagne vire à droite
12/05/2010 20:33
La logique est respectée
Même si ces derniers sont plus proches des travaillistes, il est plus logique que Nick Clegg se soit allié avec les Tories. En effet, le Labour a subi une lourde défaite en réunissant moins de 30% des voix. Le parti semblait usé par treize années à la tête du Royaume Uni et le Premier Ministre sortant n’a pas réussi à donner aux britanniques des raisons suffisamment solides pour rester au pouvoir. Celui qui avait affirmé avoir aboli les cycles économiques et remis les finances d’aplomb a grandement perdu en crédibilité avec la récession et l’explosion des déficits.
En outre, une alliance entre les travaillistes et les libéraux-démocrates se heurtait à plusieurs obstacles. Le principal était le fait qu’elle n’aurait même pas permis de dégager une majorité stable puisqu’il aurait manqué 11 députés pour atteindre la majorité absolue. En outre, Nick Clegg avait annoncé qu’il ne souhaitait pas contribuer à maintenir au pouvoir Gordon Brown et il fallait donc régler la question très délicate du leadership du Labour. Malgré les désaccords importants entre les deux partis, une telle issue est donc plus conforme aux résultats d’une élection où les Tories sont arrivés clairement en tête.
Quelles conséquences ?
En Grande-Bretagne, les conséquences devraient être sensibles. Cela devrait accélérer le plan de redressement des finances publiques puisque les conservateurs avaient annoncé vouloir aller plus vite que le gouvernement actuel. Une réforme du mode de scrutin devrait être proposée par référendum aux britanniques, les conservateurs ayant refusé d’intégrer une dose de proportionnelle sans consulter la population. Les libéraux-démocrates ont renoncé à leur volonté de rejoindre l’euro.
Mieux, tout transfert de souveraineté vers l’Union Européenne devra également être validé par référendum. Les conséquences internationales seront marquantes car la Grande-Bretagne va revenir à une attitude beaucoup plus hostile à l’égard de toute intégration européenne. Mais notre voisin d’outre-manche a également toutes les chances d’adopter une attitude beaucoup plus réservée à l’égard de la réforme du système économique. Car si Gordon Brown avait accompagné la libéralisation pendant 10 ans, dernièrement, ses propos laissaient entrevoir une évolution salutaire.
Au global, si cette alliance est surprenante d’un point de vue idéologique, elle correspond mieux aux résultats des élections. Point positif, elle devrait freiner toute évolution fédéraliste de l’Europe. Point négatif, elle devrait freiner également la réforme du système financier.
Laurent Pinsolle
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